Qui suis-je
Depuis le début de ma carrière médicale en Suisse, ma quête s’est orientée vers la recherche de solutions thérapeutiques naturelles, rapides, efficaces et autonomes pour parvenir à la guérison. À mesure que les années passent, je découvre de plus en plus de possibilités…
D’après mes observations, plus de 50% des maladies résultent de notre alimentation quotidienne, y compris les boissons, et 20% sont attribuables à des chocs psychologiques. Pour chaque maladie, il existe toujours une cause précise. En analysant les aliments que vous consommez quotidiennement, je peux identifier les dysfonctionnements dans votre organisme. En trouvant la cause, nous pouvons la traiter et favoriser la guérison.
Afin de perfectionner ma technique thérapeutique entièrement naturelle, j’ai acquis des connaissances en médecine scientifique, en médecine chinoise, en acupuncture, en médecine tibétaine et mongole. J’ai étudié la chiropractie, exploré l’homéopathie, expérimenté la bio-résonance, testé le magnétisme et pratiqué la kinésiologie.
Après sept années d’études dans différentes branches médicales, ainsi que des années d’observation et de pratique, j’ai tracé mon chemin et trouvé la médecine qui me convient. Selon mon raisonnement, la médecine du futur sera dépourvue de médication.
La médecine que je pratique aujourd’hui a mon cabinet ne découle pas des études médicales conventionnelles. J’ai dû investir un effort considérable pour l’apprendre, la développer et la perfectionner. Toutefois, ma connaissance approfondie des divers domaines médicaux, de la chimie, de la biochimie, de la physique et de l’anatomie m’a grandement aidé à comprendre le corps humain et les maladies.
La technique que j’emploie est entièrement explicable sur le plan scientifique. Il ne s’agit ni d’un don, ni de chamanisme.
Depuis le début de ma carrière médicale, j’ai cherché une approche thérapeutique totalement indépendante, à savoir ni tributaire de la nature (plantes médicinales) ni liée à la pharmacie. Mon objectif est de traiter les patients sans recourir à la médication, en favorisant la guérison naturelle, et en validant cette dernière par la médecine scientifique.
Depuis 2006, j’ai entrepris le développement de ma propre technique thérapeutique : la « programmation cellulaire » et la « programmation neuro-synaptique pour conditionner l’auto-guérison ». Selon ma théorie, le cerveau humain fonctionne comme un ordinateur, et en tant que praticien, je le traite tel un informaticien. Mon rôle est de détecter la faille, que ce soit d’origine alimentaire, chimique ou psychologique, expliquant pourquoi le corps ne fonctionne plus correctement.
Le corps humain est principalement constitué d’eau, représentant entre 65 % et 70 % de sa composition. En agissant sur la fréquence vibratoire de l’eau, également appelée la « mémoire de l’eau », présente à l’intérieur du neurone, il est possible de rectifier le comportement cellulaire, de diriger (programmer) le fonctionnement des organes et des glandes, et de conditionner le processus d’auto-guérison. Cette approche permet d’influer sur l’absorption des vitamines et des oligo-éléments, d’optimiser la captation des neurotransmetteurs et d’accroître la sensibilité aux hormones.
Sur l’image, je suis assis au milieu, tenant des fleurs et mon diplôme à la main, avec les 12 nouveaux médecins ainsi que nos 2 professeurs en médecine orientale.
Le cerveau humain fonctionne de manière analogue à un ordinateur, avec des « bugs » susceptibles de perturber le bon fonctionnement du corps, pouvant ainsi entraîner des maladies. Par exemple, un traumatisme psychologique peut provoquer un dysfonctionnement, conduisant à des états tels que la dépression, l’angoisse ou l’insomnie.
Lorsque je vois mes patients, j’adopte une perspective scientifique, traitant avec la précision d’un médecin et utilisant les mains d’un thérapeute. Mon approche thérapeutique repose également sur l’utilisation de l’eau programmée, exploitant la mémoire de l’eau comme remède.
Mon objectif premier dans le traitement est d’atteindre la guérison. Un traitement efficace devrait se caractériser par sa rapidité et son efficacité, de sorte que les patients n’aient pas besoin de recourir à d’autres médicaments pour compléter leur traitement. De plus, le soin doit être indolore et sans danger, assurant ainsi une expérience thérapeutique optimale. L’objectif ultime est que les patients ne reviennent plus avec les mêmes problèmes, signe d’une véritable guérison.
Traiter les patients sans recourir à des médicaments représente un défi supplémentaire, mais c’est une voie que je considère essentielle. Bien que toutes les approches médicales aient leurs mérites, il est crucial de trouver celle qui convient le mieux à chaque individu.
Il est important de souligner que la médecine que je pratique ne vise pas à concurrencer la médecine allopathique. Au contraire, elle vient en complément lorsque des difficultés persistent dans le processus de guérison. Les résultats obtenus, quel que soit le titre ou le nom du traitement suivi, sont les seuls le résultat qui importent.
Les souffrances que j’ai observées chez les autres pendant mon enfance ont été le moteur de ma quête de compréhension des maladies et de ma volonté de devenir thérapeute. C’est cette expérience personnelle qui alimente ma passion pour la recherche de solutions thérapeutiques efficaces et holistiques.
Lorsque je ne parviens pas à guérir quelqu’un, son problème continue de m’occuper l’esprit pendant des mois, voire des années, jusqu’à ce que je trouve une solution. Bien que je ne possède pas de dons semblables à ceux des magnétiseurs ou des guérisseurs, ma « don » réside dans ma capacité à percevoir la logique.
Les systèmes de santé varient d’un pays à l’autre. En Mongolie et en Chine, les médecines traditionnelles et ancestrales sont intégrées aux approches modernes. Seuls les médecins spécialisés sont autorisés à pratiquer l’acupuncture dans les hôpitaux, soulignant ainsi la reconnaissance des médecines traditionnelles au sein du système de santé.
Pendant mon cursus de médecine, entre 1994 et 2001 en Mongolie, j’ai consacré sept années à des études et des recherches approfondies dans les domaines de la médecine expérimentale et de la médecine ancestrale. Mon apprentissage s’est effectué sous la tutelle des meilleurs docteurs et professeurs en médecine de Mongolie.
Parmi mes instructeurs figurent des personnalités éminentes, telles que le Dr Khamba Lama D. Natsagdorj, fondateur de « OMMU », et le Dr Odontsetseg, qui m’ont enseigné la médecine traditionnelle mongole. J’ai également eu le privilège de recevoir des enseignements en acupuncture de la médecine traditionnelle chinoise de la part du Dr Badarchin, l’un des fondateurs de la faculté de médecine chinoise au MNUMS, ainsi que du Dr Tomorbaatar à l’école « Mongolian National School of Traditional Medicine ».
Pour ce qui est de la médecine allopathique au « MNUMS », j’ai bénéficié des enseignements précieux de figures éminentes telles que le Dr Amgalanbaatar, le Dr Dagdanbazar, le Dr Choijamts, le Dr Radnaabazar, et environ 40 autres docteurs et professeurs de renom en Mongolie. Ces expériences d’apprentissage diversifiées m’ont fourni une base solide et une compréhension holistique de la médecine.
Désolé pour ne pas avoir écris tous les noms de mes professeurs, (il y en a beaucoup!)
Sur l’image (le gars à gauche qui reçoit la médaille est moi), vous voyez la cérémonie d’obtention du diplôme de fin d’études et la remise de la médaille d’honneur de l’École de Médecine Orientale. La personne accrochant la médaille est le ministre de la Santé de l’époque et le ministre de l’Éducation est a coté. La personne vêtue d’un habit religieux jaune est le professeur Dr. Natsagdorj, qui nous a enseigné la médecine traditionnel Mongol durant 5 ans.
Aujourd’hui, on peut trouver cette médaille sur ma table de consultation dans mon cabinet.
Pendant cette cérémonie, en 2000, j’ai prêté le serment médical. Après avoir obtenu le titre de Praticien en médecine, le premier degré de la médecine, je me suis spécialisé en acupuncture MTC à l’école de médecine traditionnelle du MNUMS. Par la suite, j’ai effectué un stage de spécialisation dans un hôpital universitaire à Ulaanbaatar.
En Mongolie, j’ai été reconnu en tant que médecin de famille spécialisé en acupuncture. L’objectif de ma formation était de promouvoir la médecine naturelle au sein d’un environnement hospitalier, soulignant ainsi mon engagement en faveur d’une approche holistique et naturelle de la pratique médicale.
En Suisse, mon diplôme est reconnu par différentes associations en tant que thérapeute en acupuncture et en médecine traditionnelle chinoise, bien que je ne sois pas reconnu en tant que médecin FMH.
J‘ai ouvert mon cabinet à Lausanne en octobre 2006. En 2007, j’ai obtenu l’agrément, notamment dans le domaine de l’acupuncture et de la médecine chinoise, par les associations ASCA, RME et APTN. Depuis 2010, mon cabinet est également enregistré au Registre du Commerce.
Mon objectif de traitement est de compléter la médecine allopathique en ciblant les maladies qui présentent les défis les plus complexes pour parvenir à une guérison durable. Cette approche vise à offrir des solutions complémentaires aux patients confrontés à des problèmes médicaux difficiles.
Depuis 2010, j’ai mené ma propre étude de recherche privée sur les maladies graves. Durant cette période, j’ai réussi à élaborer plusieurs traitements naturels et hautement efficaces pour des affections difficiles à guérir par la médecine traditionnelle. Mes protocoles de traitement pour certaines maladies graves telles que le cancer du sein, xxxx xxxxxx, xxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxx impliquaient plusieurs séances, généralement entre 5 et 12, et ont produit d’excellents résultats.
Cependant, étant donné que la plupart de mes patients souhaitaient une guérison rapide, voire miraculeuse en une ou deux séances, j’ai dû adapter mes soins. Cela m’a conduit à abandonner les traitements de longue durée ainsi que les approches préventives afin de répondre aux attentes et aux besoins immédiats de mes patients. Cette adaptation a été nécessaire pour trouver un équilibre entre la recherche de résultats rapides et la préservation de l’efficacité de mes traitements.
En 2013, j’ai réussi à perfectionner ma technique de « programmation cellulaire », une approche entièrement naturelle destinée aux maladies les plus difficiles à guérir par la médecine allopathique. Cette méthode a démontré son efficacité dans le traitement de diverses affections, notamment :
– Allergies : 95%
– Asthme : 95%
– Dépression : 90%
– Angoisses : 90%
– Insomnie : 90%
– Phobies : 95%
– Boulimie : 90%
– Migraines : 70%
– Intolérances alimentaires au gluten et lactose : 95%
– Troubles de la ménopause : 90%
– Ovaires polykystiques : 95%
– Infertilité : 60%
Et bien d’autres.
Cette avancée dans la « programmation cellulaire » a permis d’apporter des solutions significatives pour des pathologies variées, marquant ainsi une étape importante dans ma quête de traitements naturels et efficaces.
Grâce à mon traitement pour l’infertilité, entre les années 2006 et 2023, 150 couples ont connu la joie d’avoir des enfants naturellement (mise à jour au 31 octobre 2023).
Entre 2010 et 2016, une quarantaine de thérapeutes en Suisse sont venus apprendre la technique et la théorie de mon traitement.
En raison de la demande croissante de patients venant de loin, voire de l’étranger, j’ai pris la décision, en 2015, de déménager à Ecublens. Mon cabinet est désormais situé à proximité de la gare (200m) et de la sortie d’autoroute, avec des facilités de stationnement devant le cabinet.
En 2017, j’ai ajusté mon objectif thérapeutique pour me concentrer exclusivement sur le traitement des maladies qui présentent le taux de guérison le plus rapide et le plus élevé.
Selon mes statistiques en mars 2021, mon expérience en tant que praticien a atteint plus de 60 000 séances de traitement, reflétant une longue et fructueuse carrière dédiée à la santé et au bien-être de mes patients.
« En tant que non-francophone natif, des erreurs peuvent se glisser ici et là sur mon site web. Cependant, concentrez-vous sur l’essentiel : « – Une faute d’orthographe ou un accent étranger ne devrait pas avoir d’impact négatif lorsqu’il s’agit d’aider quelqu’un. »